Burkina Faso : Les nouvelles dynamiques de la transformation du Faso, sous l’impulsion du Président Ibrahim Traoré

Le Président Ibrahim Traoré a hérité d’un Faso qui était en proie à une crise multidimensionnelle. Le pays était marqué par une insécurité grandissante due à l’activisme des groupes terroristes, contrôlant près de 40 % du territoire national. Cette instabilité s’accompagnait d’une crise politique et d’une dépendance structurelle aux importations alimentaires ainsi qu’à l’aide internationale. Cependant, sous l’impulsion de nouvelles dynamiques, le Burkina Faso amorce une transformation majeure.

Ainsi, sur le plan sécuritaire, dès son arrivée au pouvoir, le Président Ibrahim Traoré a misé sur une stratégie militaire offensive et une mobilisation nationale sans précédent. Les Forces armées burkinabè, mieux équipées et mieux organisées, ont réussi à reprendre plusieurs localités aux mains des groupes terroristes. L’insécurité recule progressivement dans les zones qui étaient sous l’emprise des forces du mal, permettant ainsi à de nombreuses populations de retrouver une vie normale.

Le Burkina Faso est actuellement en marche vers l’autosuffisance alimentaire. Historiquement dépendant des importations alimentaires, il ambitionne aujourd’hui d’atteindre l’autosuffisance alimentaire d’ici à 2028. Grâce aux initiatives du Président Ibrahim Traoré, la production agricole est en pleine expansion. Des réformes ont été entreprises pour encourager la production locale, notamment avec l’implication des importateurs dans l’investissement agricole. L’un des plus grands succès est l’introduction et la culture du blé sur le sol burkinabè, autrefois considérée comme impossible. Avec cette avancée, le pays vise non seulement à subvenir à ses besoins en blé, mais aussi à devenir un exportateur de farine de blé dans les prochaines années.

L’industrialisation et la transformation des ressources locales en plein essor sous la vision du Président Ibrahim Traoré. Plusieurs projets d’envergure ont vu le jour, notamment la première raffinerie d’or du pays, destinée à maximiser les bénéfices de l’exploitation aurifère en valorisant la production locale. Une usine de fabrication de produits pharmaceutiques intégrée est également en construction, visant à produire des médicaments localement et ainsi réduire la dépendance aux importations. Deux usines de transformation de tomates, l’une à Bobo-Dioulasso et l’autre à Yako.

Aussi, l’intégration régionale est au cœur des préoccupations du Président Ibrahim Traoré. À travers l’Alliance des États du Sahel (AES), le Burkina Faso s’emploie à renforcer sa coopération avec ses voisins du Mali et du Niger afin de favoriser la stabilité, l’échange économique et l’autosuffisance collective. L’interconnectivité régionale est un levier clé pour garantir la résilience du pays face aux défis géopolitiques et économiques.

Aujourd’hui, le Burkina Faso est un vaste chantier où chaque secteur connaît des avancées manifestes. Les réformes engagées redonnent espoir à la population et dessinent un avenir où le pays ne sera plus tributaire des importations et de l’aide extérieure. Grâce à une gouvernance axée sur l’autonomie, le développement durable et la souveraineté, le Burkina Faso est en train de s’imposer comme un modèle de résilience et de transformation en Afrique de l’Ouest.

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Abdoul NANEMA