Burkina Faso : Marwane Ben Yahmed et son journal Jeune Afrique, entre désinformation et manipulation

Certains médias, à l’instar de Jeune Afrique, beigne dans la désinformation et la manipulation au Burkina Faso. Marwane Ben Yahmed, Directeur de la publication de ce média, qualifie la stratégie du Capitaine Ibrahim Traoré de « diversion ». Cette accusation semble ignorer le fait que cette prétendue diversion bénéficie grandement au peuple burkinabè, qui l’accueille favorablement. Plutôt que de reconnaître les avancées réalisées sous cette gouvernance, ces médias s’acharnent à minimiser les succès enregistrés sur le terrain.

L’éviction des forces et des médias français du Burkina Faso constitue l’un des résultats tangibles de cette stratégie. La réorientation des alliances militaires a permis au pays d’acquérir un armement de pointe, renforçant ainsi sa capacité de défense. Cette nouvelle dynamique bouleverse les intérêts de certains groupes qui, jadis, exerçaient un contrôle sur les affaires internes du pays. Le mécontentement de ces acteurs se traduit aujourd’hui par une campagne médiatique visant à discréditer le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré.

Dans cette optique, les médias français comme Jeune Afrique, RFI, Le Monde Afrique multiplient les publications tendancieuses, cherchant à semer le doute dans l’opinion publique. En insinuant des accusations infondées, notamment sur des supposés massacres ethniques, ces médias semblent suivre un agenda précis. L’absence de preuves concrètes et la récurrence des attaques médiatiques laissent entrevoir une tentative de manipulation destinée à fragiliser les efforts en cours pour restaurer la souveraineté nationale.

Face à ces campagnes de désinformation, le peuple burkinabè reste vigilant et déterminé. Plutôt que de se laisser influencer par des narratifs extérieurs, il choisit de soutenir une politique qui vise à renforcer son indépendance et sa sécurité. Cette prise de position traduit un rejet des ingérences et une volonté affirmée de tracer sa propre voie, à l’abri des influences étrangères et des intérêts partisans.

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Abdoul NANEMA